Comment investir dans l’immobilier locatif ?

La pierre est l’investissement préféré par les investisseurs français à la bourse et aux produits d’assurance. L’achat d’un bien immobilier locatif est une décision financière très sûre. De nombreux particuliers souhaitent louer ou investir dans la capitale du pays. 

Sur le marché immobilier en mai 2021, il y a 10% d’acheteurs de plus que de biens à vendre. Il y a une friction du marché dans les locations de longue durée et de courte durée (courte durée). Chaque jour, trois demandes de location étaient effectuées avant la crise sanitaire actuelle. Comment mettre de l’ordre si l’on prévoit de s’absenter de chez soi pendant une longue période pour travailler sur un projet de construction ? Comment faire un bon investissement dans un bien locatif ? Comment réaliser un investissement immobilier rentable en cinq étapes simples.

Déterminez à l’avance ce que vous voulez réaliser comme investissement

Avant de rechercher des logements, il est essentiel d’avoir une idée précise de vos objectifs d’investissement. L’acquéreur maîtrisera mieux son entreprise et pourra concentrer ses efforts de manière plus efficace.

Afin de déterminer ce que vous voulez accomplir avec votre investissement dans l’immobilier à distance, il est essentiel de poser les bonnes questions. Par exemple, quelles sont les raisons qui vous poussent à investir dans ce bien immobilier spécifique ? S’agit-il de renforcer votre épargne ou de diversifier vos revenus ?

En pesant soigneusement ces facteurs, vous pourrez déterminer s’il est plus raisonnable de privilégier la rentabilité de la recherche ou la sécurité.

Comment investir dans l’immobilier locatif ?

Déterminez votre mode de financement

Si vous savez où vous voulez que votre investissement immobilier aille, vous pouvez adapter votre budget en conséquence. Le budget peut varier en fonction des objectifs. Considérons la situation d’une entreprise de location dans laquelle nous souhaitons la rentabilité. Si l’acheteur souhaite un investissement patrimonial dans un emplacement de premier ordre, la fourchette de prix le reflétera.

Ensuite, il faut prendre en compte tous les coûts liés à l’achat d’un logement. En plus du prix d’achat, il est essentiel de prendre en compte le coût de l’agent immobilier, les frais de notaire et les améliorations nécessaires.

L’obtention d’un crédit immobilier

L’étape suivante consiste à obtenir un financement. Dans ce contexte, il s’agit d’évaluer l’éligibilité d’une personne à un prêt. Cela permettra de déterminer quelle part du revenu mensuel d’une personne peut être allouée aux paiements du prêt sans affecter son niveau de vie. Aucun ménage ne devrait avoir une dette supérieure à 33 % de son revenu annuel. Ce pourcentage est calculé en multipliant le revenu moins les coûts par 33, puis en le divisant par 100.

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Il est totalement faux que les étrangers ne peuvent pas emprunter en France, contrairement à une idée reçue. En effet, certains organismes financiers, notamment le Crédit Mutuel et la Société Générale, n’accordent pas de prêts aux non-ressortissants. Toutefois, des institutions financières comme le Crédit Agricole et la Caisse d’Épargne rendent la chose possible. Avant de demander un prêt hypothécaire, un expatrié qui souhaite acquérir une maison doit fournir un acompte d’au moins 20 ou 30 % du prix d’achat. Une hypothèque classique ou un autre type de garantie peut être exigé pour obtenir le prêt de la banque.

Tenez compte de l’emplacement et des environs de la propriété

Certains quartiers de Paris sont plus désirables que d’autres pour les investisseurs immobiliers qui cherchent à générer un profit. Par conséquent, l’emplacement du bien peut permettre un prix plus élevé par mètre carré, ce qui augmente le retour sur investissement possible. Levallois-Perret, Clichy et Pantin, qui sont situés à la périphérie de Paris, ont des valeurs immobilières au mètre carré inférieures à celles du centre-ville, mais des taux de location similaires.

Veuillez noter que les prix au mètre carré au cœur de Paris varient entre 10 000 € (20e) et 16 000 €. (6e).

S’il est prudent d’investir dans des biens immobiliers dans d’autres villes pour sécuriser son patrimoine, c’est à Paris que l’investissement est le plus intéressant. Dans ce cas, un logement, même de taille modeste, comme un studio ou un appartement en colocation, peut apporter des retours financiers importants. D’abord, les loyers sont plus élevés car ces lieux sont plus demandés.

Comment investir dans l’immobilier locatif ?

Perspective court-terme ou long-terme pour un investissement locatif ?

Il est essentiel d’avoir une perspective à long terme lorsqu’on investit dans des logements locatifs. Tenez compte de cette ligne directrice lors de l’établissement des objectifs, du calcul des gains et de l’obtention de prêts.

Pour réussir un investissement, il faut évaluer régulièrement le bénéfice que l’on peut tirer de la vente d’une propriété. L’emplacement, la taille et les équipements du logement sont-ils suffisants pour en faire un investissement intéressant ? Sera-t-il facile à revendre ? L’importance de la qualité d’une propriété n’est pas affectée par son statut de location. L’emplacement et les équipements nécessaires sont essentiels pour réduire les taux d’inoccupation et le roulement des locataires.

Imposition des revenus locatifs

Le protocole  » B.I.C.  » doit être mis en œuvre (Bénéfices Industriels et Commerciaux). Par conséquent, il existe deux régimes d’imposition distincts :

La définition de la micro-entreprise est celle d’une entreprise dont les recettes annuelles sont inférieures ou égales à 33 200 €. Les seuls registres obligatoires pour les exploitants sont un registre des achats et un journal chronologique des recettes. Dans leur déclaration fiscale, ils ne déclarent que leurs revenus. Pour le calcul du revenu imposable, l’administration fiscale applique une diminution forfaitaire de 50 %.

Le revenu maximum pour les locations saisonnières meublées est de 82 800 €, et le taux d’abattement forfaitaire est de 71 %.

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Les entreprises dont les revenus annuels sont supérieurs à 33 200 € sont tenues d’appliquer le régime réel. En clair, si l’exploitant se rend compte que ses frais réels dépassent le montant de la déduction forfaitaire appliquée automatiquement par le système  » MICRO « , il optera pour le réel. En fonction du prix d’achat du bien, l’amortissement peut être déduit du revenu imposable. En outre, vous pouvez déduire le montant de la perte de ses revenus futurs.

Si le propriétaire est inscrit au registre du commerce, qu’il gagne plus de 23 000 € par an grâce à la location, et que cette activité est prioritaire sur toutes les autres activités professionnelles de la maison, alors il est considéré comme un propriétaire professionnel. Après cinq ans d’activité, le bailleur peut ne plus être tenu de payer l’impôt sur les plus-values, et les pertes subies peuvent être déduites des autres revenus familiaux.

Comment investir dans l’immobilier locatif ?

Comment les charges d’amortissement doivent-elles être déduites du revenu imposable ?

Si une entreprise commerciale (S.A.R.L., S.A.S. ou S.A.) achète le bien, les bénéfices seront calculés de la même manière que les bénéfices commerciaux. Par conséquent, nous déduisons les frais d’amortissement du total des dépenses.

Il en va de même pour l’alternative de l’impôt sur les sociétés en cas d’achat par une « SCI ».

Il est important de noter que le choix d’employer ce régime fiscal est irréversible, et que les régimes d’impôt sur les sociétés ont toujours des effets importants sur le montant de l’impôt sur les plus-values dû lors de la vente d’un bien immobilier.

En guise de dernière remarque, il convient de souligner que soumettre sa notion à un comptable francophone avant de faire son choix définitif est essentiel, même dans une opération d’achat d’immeuble qui semble assez peu compliquée.

Dans quelles villes réalisées sont investissement locatif ?

La France est un acteur clé sur les marchés financiers d’Europe continentale. L’histoire et la culture, ainsi qu’une économie et un cadre réglementaire solides, font de la France un lieu attrayant pour les investissements immobiliers.

La France bénéficie aujourd’hui de taux d’intérêt bas et d’un marché locatif à la croissance soutenue, notamment dans les grandes villes telles que Paris, Lyon et Bordeaux. La prévalence des investisseurs individuels à la recherche d’opportunités d’investissement ou de résidences secondaires a attiré les investisseurs institutionnels intéressés par la vente au détail et le tourisme.

Concernant la loi

Les ressortissants étrangers peuvent acheter des biens immobiliers en France. À l’exception des questions de succession, qui sont traitées par la loi du pays du propriétaire non-résident, le droit français régit toutes les circonstances. Lors du transfert de la propriété directe d’un bien immobilier en France, un notaire doit rédiger les documents qui sont soumis au service du cadastre. Un avocat suffit pour les ventes indirectes (parts). Des permis sont nécessaires chaque fois qu’une activité de construction ou de démolition est effectuée sur un bâtiment.

Avant de s’engager dans un contrat de location, il faut contacter un avocat. Selon qu’il s’agit d’un bail résidentiel ou commercial, diverses dispositions légales, telles que la limitation de l’augmentation du loyer, peuvent être nécessaires. Les locataires sont responsables de l’entretien régulier de l’espace loué par le biais des charges ainsi que de l’assurance du bâtiment et de son contenu.

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Les personnes physiques non résidentes ou les sociétés créées à cette fin peuvent acquérir des biens immobiliers. La société fonctionnera comme une société sans but lucratif selon la loi française (SCI). Les actionnaires ont le choix de soumettre les revenus locatifs à l’impôt sur le revenu des personnes physiques ou à l’impôt sur les sociétés.

Les implications financières

À chaque étape de la propriété d’un bien immobilier, y compris l’achat, la location et la vente, des taxes doivent être payées.

Taxes d’acquisition

Selon l’âge et le type de propriété, une taxe de transfert de 5,8 % peut s’appliquer en plus à la vente. La taxe sur la valeur ajoutée payée lors de l’acquisition peut être déduite des revenus locatifs.

Imposition des revenus locatifs

Les non-résidents sont soumis à un impôt de 30 % sur leurs revenus locatifs. En outre, le contribuable doit s’acquitter d’un prélèvement social de 7,5 %, ou de 17,2 % s’il n’est pas résident de l’UE ou de l’EEE.

La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) ne s’applique pas aux revenus locatifs d’une maison non meublée, bien que les propriétaires aient le choix de remettre la taxe. Dans les cas où le propriétaire peut déduire les dépenses de TVA directement liées à la propriété, comme celles engagées lors de sa construction ou de sa rénovation, cette option peut convenir.

Les revenus locatifs d’une société non résidente sont soumis à un impôt sur les sociétés de 15 % sur les premiers 38 120 €, de 28 % sur les 38 121 € suivants jusqu’à 500 000 €, et de 33,33 % sur les revenus locatifs perçus au-delà de 500 000 €.

Impôt payé lors de la vente d’un produit.

La différence entre le prix de vente et le prix d’achat d’un bien immobilier est soumise à une retenue à la source de 19 % si l’acheteur est un non-résident. Si vous réalisez de nombreuses ventes chaque année, vous serez soumis à l’impôt sur les sociétés. La durée de votre détention peut vous donner droit à une réduction.

En outre, le redevable est soumis à un impôt social de 7,5 %, ou de 17,2 % s’il n’est pas résident de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen.

Pour les biens appartenant à des sociétés étrangères ou à des sociétés françaises ayant opté pour l’impôt sur les sociétés, la différence entre le prix de vente et la valeur nette comptable prévue est imposable. Il y a une taxe de 15 % sur les premiers 38 120 €, une taxe de 28 % sur les 500 000 € suivants et une taxe de 33 % sur le reste.

Conclusion

En général, les fonds propres des investisseurs et les prêts bancaires sont utilisés pour financer les initiatives immobilières. Avant d’accepter d’accorder un prêt hypothécaire, une banque demande souvent un acompte d’au moins 20 % et des garanties. Un notaire effectuera des contrôles anti-blanchiment d’argent sur les transactions en espèces d’un client afin d’établir leur légalité.

En raison de la complexité du système juridique et fiscal français, il faut contacter des spécialistes du droit, de l’immobilier et de la comptabilité. Le bon côté des choses est que toute cette paperasserie signifie que la propriété immobilière française est solide comme le roc, ce qui fait de tout investissement un pari sûr à long terme.